Ce 11 juin, une des préoccupations majeures de l’heure a été au cœur des échanges du mouvement national de la jeunesse progressiste dont le thème « la jeunesse en question ».
Au sens large , ce thème offre l’ occasion aux jeunes de porter le plaidoyer pour leur insertion socio- professionnelle qui « reste un problème entier malgré de multiples mécanismes et moyens déployés par l’État » selon Salou Dionne .
Selon Salou Dionne, c’est pratiquement des préoccupations qui sont à l’origine de « violences comme ça était le cas en Mars 2021 ».
Il urgent une sérieuse prise en charge de cette question dans un pays où la majorité de la population est jeune et en âge d’activité .Sur ce, Mr Dionne a plaidé pour une « revalorisation ,mieux ,prône -t-il c’est-à-dire une formalisation du secteur informel ,un secteur qui aujourd’hui génére 96,4% des emplois face à un secteur professionnel qui génère 3,6% d’emplois seulement «
Ce secteur informel représente « 2.500.000 emplois », une masse salariale de 700 milliards soit une contribution aux impôts de de 150 milliards contre 165.000 fonctionnaires dont la masse salariale est à 900 milliards ,a -t-il fait constater. Ce secteur poursuit -il c’est au total , une contribution de 2/3 du PIB. Compte tenu de l’importance de ces chiffres, il y’a une injustice à rectifier et corriger afin de permettre à ce secteur de profiter de la commande publique et d’accéder facilement aux crédits , a-t-il soutenu.
IMS