Face à dépêche Afrique, le jeune juriste Moutar Ly maîtrisard en droit public a tenter d’éclairer nos lanternes sur ces trois questions majeures qui ,en prélude des législatives du 31 Juillet préoccupent plus d’un avec déjà un climat prés -électoral tendu .
Rejet de la liste titulaire de Yewwi, non lieu des élections, l’exclusion de la photo de Ousmane Sonko et de ses identifiants du spécimen du bulletin de la coalition Yewwi le juriste nous en fait savoir plus.
Pour le jeune juriste membre de l’Alliance Pour la République, Yewwi a tous les droits d’aller aux élections législatives du 31 Juillet.
« ouï, Barthélémy quand il dit que Yewwi a le droit d’aller aux élections , dit vrai. La coalition Yewwi doit prendre part aux élections , « L’article 4 de la Constitution effectivement consacre ce droit , mais il faut être précis et clair , c’est ce même droit constitutionnel qui dit avec quelle liste , la liste des suppléants ouï »,confirme -t-il. « car comme vous le savez l’article 149 du code électoral quand vous le lisez le moins, est clair, c’est la liste titulaire de Yewwi qui a été déclarée irrecevable dont littérairement cette liste est hors du jeu ,a-8t-il précisé.
Ainsi déclare– il : « c’est la loi ».
« Le droit ne cherche pas à faire plaire ou à déplaire à qui que ce soit. Le droit, c’est le droit et sa règle est générale et impersonnelle, elle s’applique à tout le monde, donc eux Barthélémy Dias ,Yewwi, Ousmane Sonko », a déclaré le jeune maitrisard en droit public,Moutar Ly.
Dans cette même lancée ,il affirme , « au moment où cette liste titulaire de Yewwi est selon l’article 149 irrecevable, les personnes qui y sont investies ne sont plus candidats et comment , Ousmane Sonko qui n’est pas candidat ,qui ne figure pas sur une liste qui doit compétir,ses identifiants, sa photo peuvent figurer sur un bulletin ?Ici , on s’en tient toujours à l’article 149 ,a soutenu Moutard Ly.
« Le conseil constitutionnel a dit juste et vrai simple ce que prévoit la loi », signe-t-il.
Il faut que l’opposition sache raison garder ,car c’est seulement quand ça les arrange qu’ils applaudissent..
Quand ce que le conseil prononce est en leur défaveur, ils taxent l’institution de corrompue ,a fustigé le juriste.
« Le conseil constitutionnel est une institution sacrée et de référence par la qualité professionnelle de ses membres. Il faut qu’on respecte cette institution », a défendu le jeune juriste,Moutar Ly .
« Il n’est pas donné à n’importe qui d’être membre du Conseil Constitutionnel, c’est des professeurs de droit de classe exceptionnelle avec plus de 30 ans d’exercices dans le droit qui y siégent »,a -t-il soutenu. Et mieux , fait constater le juriste :« Ces membres, c’est des Sénégalais, des professeurs émérites qui ont dispensé des cours dans l’une des meilleures universités de la sous région », souligne-t-il.
Sur ce prône -t-il : « Il faut que cette opposition revient à la raison , les membres du Conseil Constitutionnel méritent respect et reconnaissance , vu la qualité des enseignements qu’ils ont dispensés et qui a hissé l’université Cheikh Anta Diop au top en matière de formation dans la sous région » a -t-il soutenu. Sur ce poursuit-il « à force de vouloir les dénigrer ,on est entrain de contribuer sans se rentre contre à saper la qualité de notre système d’enseignement supérieur », a-t-il regretté.
« Les membres du Conseil Constitutionnel , comme l’imagine la majorité des Sénégalais ne sont pas choisis parce qu’ils sont des amis du Président ou de l’APR oubien parce qu’ils sont politiques , comme aussi,ils sont intéressés par l’argent », a -t-il réfuté. « C’est des gens qui sont riches car ils ont eu à exercer dans des institutions les plus élevés à travers le monde »,a -t-il défendu contre ceux qui les taxent de corrompus. Il faut comprendre qu’ils arrivent à ce poste par compétence et mérite. C’est les seuls citères qui vaillent pour être membre du conseil constitutionnel », Persiste-il.
Toujours,se prononçant sur cette même question de crédibilité des membres du conseil constitutionnel il a indiqué que,« Il arrive que d’autres soient nommés sans jamais avoir de rapport avec le Président », a -t-il précisé le jeune juriste Moutar L’y ,membre de l’Alliance Pour la République .
le Conseil, son objectif , explique -t-il , c’est travailler à ce que les citoyens puissent participer aux élections. Donc s’il y a eu cette possibilité, à travers un article qui permet à une liste d’aller aux élections, le Conseil n’hésiterait pas à ce que cette liste puisse aller aux élections , Signe-t-il.
Sur un non lieu de ces élections législatives retenues au 31 Juillet,le juriste déclare :« Il y aura bel et bien des élections ».
« Nous sommes dans un État souverain et si ces élections là n’auront pas lieu, ça serait une très grande catastrophe pour la souveraineté de ce pays.Devant la face du monde ça va montre carrément que ce pays n’est pas stable. L’Etat doit être fort et utiliser tous les moyens légaux possibles pour permettre à ces élections d’avoir lieu » , a -t-il dit
AGI