UA :MACKY SALL PRÔNE LA BONNE GOUVERNANCE

UA/le Président Macky Sall prône une culture de bonne gouvernance

Le président de la République, Macky Sall a invité l’Union Africaine (UA) à ’’optimiser’’ les dépenses budgétaires et ’’asseoir davantage’’ une ’’culture de bonne gouvernance et de redevabilité’’

’’Il nous faut également optimiser les dépenses budgétaires et asseoir davantage une culture de la bonne gouvernance, de redevabilité, d’éthique et de gestion basée sur les résultats’’, a-t-il déclaré Macky Sall Samedi en marge du 34e Sommet de l’UA tenu par visio-conférence .

Sur ce le Président Macky Sall à recommander de :’’mettre en œuvre intégralement les recommandations du rapport d’audit pour la période 2014-2020’’ et ’’finaliser, en 2021, les réformes administratives et financières en vue de la révision du règlement financier, du statut du personnel’’.

Macky Sall a également appelé à ’’l’adoption du nouveau système de quota du personnel pour les Etats membres mais aussi d’une politique de recrutement basée sur le mérite et les compétences’’.

En 2016, les dirigeants africains avaient décidé que des réformes institutionnelles de l’Union africaine (UA) s’avéraient urgentes et nécessaires pour la réalisation de la vision de l’Agenda 2063 de l’Afrique.

Le président du Rwanda, Paul Kagame, avait alors été mandaté par la Conférence des chefs d’État et de gouvernement de l’Union, en juillet 2016, pour conduire le processus.

Les conclusions des consultations qui ont été menées ont permis d’identifier cinq domaines prioritaires d’intervention pour la transformation de l’Union, à savoir : ‘’se focaliser sur moins de domaines prioritaires de portée continentale ; revoir la structure et les activités de l’UA et d’assurer la réorganisation institutionnelle pour une meilleure prestation des services’’.

L’UA doit également ’’être en phase avec les citoyens africains ; devenir efficace et efficiente au plan opérationnel dans l’accomplissement de ses missions ; identifier et mettre en œuvre un financement durable pour ses programmes et réduire la dépendance excessive vis-à-vis des partenaires au développement’’.

AGI

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