Le 21 juin marque la célébration de la fête de la musique.
Au Sénégal, cette fête sera célébrée sous le thème : « le développement des arts vivants » . Ainsi , l’occasion sera saisie pour le développement dudit secteur.
A cet effet se pose la question cruciale d’un fonds pour le développement de ces arts vivants.
Pour y aller , les acteurs sont invités à ensemble mener le combat .Selon le Directeur du Centre Culturel Blaise Senghor , Monsieur Aliou Léna Badiane :
«Il faut que les acteurs s’organisent en une seule entité pour porter ce plaidoyer ». Dans cet, appel il a invité les collectivités territoriales à « s’investir dans l’action culturelle » .
Mr Badiane prône la création d’un guichet unique pour ce fonds, mais dorénavant ils propose de déterminer qui est acteur culture .
En guise de réponse à cette demande posée par les acteurs ,Monsieur Louis Ndionne représentant le ministre de la culture a indiqué qu' »un travail est entrain de se faire pour un fond dédié au développement des arts vivants ».
« Un fond d’aide à la culture est déjà sur place » a -t-il indiqué.
Dans un contexte de transition numérique beaucoup de défis se posent à la musique sénégalaise.
Évoquant la question,Ousmane Faye a indiqué que c’ « est une préoccupation et la réflexion est en cours pour faire profiter le secteur de la musique,le secteur des arts vivants en général de cette mutation numérique.
Ousmane Séne Président du Comité de Pilotage de la fête de la musique, a appelé à une nécessité d’un fonds pour les arts vivants, d’où l’obligation du statut de l’artiste .
Ceci , affirme -t-il doit permettre à véritablement matérialiser les projets et nombreux sentiers afin de faire du secteur des arts vivants ,un véritable levier de promotion de nos valeurs culturelles mais aussi de développement socio-économique.
La fête de la musique sera célébrée dans les 14 régions du pays, a indiqué Ousmane Séne Président du comité de pilotage
IMS