La 27e session de la Conférence des parties à la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP 27) s’est ouverte ce dimanche 6 Novembre en Egypte à Sharm El-Sheikj jusqu’au vendredi 18.
Alors que l’ONU sonne l’alerte sur l’accélération de la crise écologique et climatique, la question de la mise en œuvre des engagements pris lors des précédentes COP dont la « réduction des émissions et l’abandon progressif des subventions aux énergies fossiles et au charbon, modalités d’octroi de financements supplémentaires pour les pays en développement confrontés à des pertes et dommages dus aux effets des changements climatiques ».
Plus de 40% de la population de la planète qui dés le 15 Novembre 2022 va atteindre 8 milliards de personnes habite dans des régions vulnérables aux changements climatiques, alors que l’Afrique n’est responsable que d’environ 3% des émissions mondiales de gaz à effet de serre liées à l’énergie et de 7% des émissions totales , elle reste un des régions du monde les plus touchées par les impacts du réchauffement global : sécheresses, inondations, incendies, dégradation des terres agricoles, érosion côtière.
Sur ce,la CEDEAO à travers le Fonds Vers(100 milliards de dollars), en parallèle de la définition du nouvel objectif 2025 restent accrochées aux résolutions de Charm el Cheikh.
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