Ce 18 juillet à un tribunal de Moscou a condamné Google à verser 363 millions d’euros d’amande.
Le tribunal reproche au géant américain du net « de fausses informations » sur l’offensive en Ukraine, ainsi que des contenus « faisant la propagande de l’extrémisme et du terrorisme » ou « appelant des individus mineurs à participer à des manifestations non autorisées », selon des médias locaux.
BIP