Inscrit dans la liste des pays producteurs de pétrole et de gaz,le premier baril du champ SNE est attendu en début d’année 2023.
Sur ce,il « s’est inscrit de manière volontaire, en toute transparence et responsabilité, dans une gestion rigoureuse, inclusive et durable de ses ressources pétrolières et gazières’’,selon PETROSEN HOLLING
’’Considérant que PETROSEN est une société nationale détenue à 100% par l’Etat, celui-ci se retrouve, en définitive, avec des parts comprises entre 50 et 64% du profit généré par le pétrole et le gaz sénégalais, compte non tenu des obligations fiscales de la compagnie étrangère’’, fait savoir ce communiqué de presse de PETRISE. HOLDING.
’’il faut faire la différence entre les parts de PETROSEN et celles de l’Etat dans le contexte d’un contrat de recherche et de partage de production’’, a-t-elle précisé,relatif aux contrats.
’’En effet, souligne t-elle, (la société petrosen hollding )selon les dispositions de l’article 22 du Contrat de Partage de Production, les parts de l’État varient en fonction de la production journalière en nombre de barils ou équivalent gaz entre trente-cinq pour cent (35%) et cinquante-huit pour cent (58%) du profit obtenu après soustraction de la part d’hydrocarbures destinée au remboursement des coûts pétroliers’’.
’’Dans ce type de contrat, la compagnie étrangère est obligée de s’associer à PETROSEN qui dispose dans tous les contrats de 10% de parts portées en phase d’exploration (elle ne participe à aucun investissement pendant cette phase)’’, indique le texte.
Et dans cette perspective,PETROSEN Holding affirme que ,en cas de découvertes économiquement rentables, elle pourrait porter sa part jusqu’à 20% en phase d’exploitation et contribuer à l’investissement. C’est le cas actuellement pour GTA et SANGOMAR ».
IMS