


La Ligue Démocratique du Sénégal fortement encrée de ses valeurs dont « ,l’unité, démocratie et le travail »,se mobilise face aux crises que traverse le pays dans le secteur du syndicat et de la politique.
Dans ce combat noble,ce samedi 23 Août 2025,elle a lancé la conférence nationale des enseignants de la LD.
Fort de sa mission moteur de transformateur sociale clé , le mouvement des enseignants s’engage à prôner le changement et apporter ainsi une solution à ces crises majeures de l’histoire du Sénégal .
Se félicitant de l’initiative, le Sécrétaire Général de la LD,Nicolas Ndiaye a declaré être rassuré de la mobilisation des enseignants pour repositionner le curseur à la place qu’il faut face aux soubresauts qui menacent l’histoire politique ainsi que syndicale du pays.
La LD est et a toujours était un « parti d’enseignants »., a confié le Sécrétaire Général Nicolas Ndiaye qui a d’emblée fait constater que « les enseignants de la Ligue Démocratique ont été à la base de la formation du SUDES ,premier syndicat autonome fondé en 1981 ».
Sur ce ,conclut -il: « Il y’a un mouvement dialectique entre notre parti et le syndicat ».
Fort de cet héritage, la conférence des enseignants de la Ligue Démocratique s’engage à apporter une réponse à la « crise du syndicalisme »,car aujourd’hui l’action syndicale a perdu son sens selon le Secrétaire Général Nicolas Ndiaye : « Nous mettons en place la Conférence Nationale des Enseignants de la LD pour contribuer à résoudre la crise du syndicalisme dans notre pays. Au,début en 1981 ,il y’avait qu’un seul syndicat autonome dont le SUDES,aujourd’hui seulement dans l’enseignement ,il y’a 35 syndicats,l’action syndicale perd son sens.C’est pourquoi nous volons contribuer à résoudre cette crise du syndicalisme »,a-t-il indiqué.
Le pays ,au-delà du crise syndicale traverse depuis ces dernières années une crise politique inédite. Décriant ce fléau du politique,le Secrétaire Général de la LD,Nicolas Ndiaye a confié que : « la LD va contribuer à résoudre cette crise du politique ».
« En 1980,il y’avait qu’un seul parti politique.En 1981 avec la légalisation des partis nous sommes arrivés aujourd’hui à 400 partis politiques pour une population de 18 millions d’habitants vous pensez que c’est normal pour un pays òu il y’a que 7millions d’électeurs », a fustigé Nicolas Ndiaye SG de la LD.
Face à cette éclosion de partis politiques,il rejette toute idée de « vitalité démocratique », c’est plutôt une « dérivé de la démocratie »signe-t-il. Car poursuit -il: « 400 partis politiques dans un pays comme le Sénégal, nous pensons que c’est trop »,défend -t-il. Mieux, du point de vu des activités, le Secrétaires Général de la Ligue Démocratique,Nicolas Ndiaye n’a pas trouvé opportun l’importance de ces partis politiques car souligne -t-il: « du point de vu activités ,le débat politique est spolié ,c’est des « invectives ,des insultes ,de la manipulation ».
ADK