Avec 4000 emplois menacés, la poste traverse un tournant critique de son histoire.
Une situation selon le Secrétaire Général du Syndicat National des Travailleurs des postes et Télécommunications ,Ibrahima Diouf du à une mauvaise gestion de la structure qui n’a jamais connu d’audits depuis 15 ans.
Ibrahima Diouf demeure convaincu que ces gestions doivent obligatoirement faire face à la transparence .Sur ce, déclare -t-il nous réclamons que les institutions d’audits interviennent afin de repositionner la poste dans sa mission régalienne.
Outre la mauvaise gestion que dénonce le SNTPT ,la poste ne doit pas continuer à servir d’ « agence de recasement du clientélisme politique » fustige le SG Ibrahima Diouf.
Toujours dans son réquisitoire ,le SNTPT réclame à l’Etat sa dette de 42 milliards concernant le paiement des bourses de sécurité familles ainsi que sa subventions de 11 milliards .
Le SNPT a dénoncé le mépris de l’Etat vis à vis d’un service public aussi crucial que la poste qui dans les coins les plus reculés du pays est présente pour satisfaire la demande sociale.
Zappée des fonds force Covid-19,il crie à l’injustice et interpelle directement le chef de l’Etat sur l’urgence de réponses consolidantes .
Ainsi après plusieurs d’interpellations à travers différents canaux disponibles sans succès , le SNTP compte marcher en intersyndicale pour sauver son outil de travail a annoncé le Secrétaire Général Ibrahima Diouf.
GK