LE SUDES /EP  DEMANDE AU PRÉSIDENT DIOMAYE DE CORRIGER LA SITUATION DE « PRÉCARITÉ, D’INJUSTICE ET DE SALAIRES DE SURVIE DES ENSEIGNANTS DU  PRIVÉ

L’attente des enseignants du secteur privé national  en vers les nouvelles  autorités en place est trop forte.

Avec une flotte de 1. 500 000 étudiants,le privé national est négligeable  à la formations de l’élites de demain.

Fort de son rôle crucial ,le SUDES/EP à attiré l’attention des nouvelles autorités en  place des conditions précaires et de travail du corps formateurs de ce secteur privé.

« Dans une telle perspective, le SUDES/EP se fait le devoir d’attirer l’attention des deux Ministres, sur le secteur privé de l’enseignement en général, sur les sous- secteurs de l’enseignement privé laïc et franco-arabe en particulier.En effet, la plupart des enseignants en service dans les écoles privées laïques et franco-arabes vivent toujours dans la précarité, les injustices de toute sorte, avec des salaires de survie parfois irrégulièrement payés », fait constater ce texte parvenu à depecheafrique.

« lI en est ainsi parce que beaucoup de déclarants responsables refusent d’appliquer les dispositions de la convention collective de l’enseignement privé » ,souligne le texte reçu 

Sur ce ,le SUDES/EP « sollicite du nouveau gouvernement, notamment des Ministres, de l’Education nationale et du Travail, une attention soutenue et des interventions pour un assainissement du secteur en vue de créer les meilleures conditions de performance scolaire dans les écoles privées laïques et franco-arabes ».

« Une telle attention est requise parce que le secteur privé d’enseignement regroupe quelques 1 500 000 élèves qui ont tous droit à une éducation de qualité »,précise le SUDES/EP.

AGI

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