Depuis 2014,le Sénégal roule sur le Plan Sénégal Émergents,seul référentiel de gouvernance économique.
Mamadou Moustapha Bâ, ministre du budget et des finances s’est félicité des succès enregistrés dans la mise en œuvre du PSE.
« La mise en œuvre du PSE a produit des résultats remarquables dans ces secteurs prioritaires », a-t-il déclaré ce jour à l’ESEA en marge d’une leçon inaugurale qu’il pronçait.
le secteur de l’énergie, consacré comme une priorité pour mettre à la disposition des ménages et des unités de production une énergie fiable et à moindre coût, sur la période 2018-2022, un montant de 729 864 710 974 FCFA a été mobilisé pour les projets du secteur uniquement sur les ressources internes. », a fait constater le ministre, du Budget et des finances,Mamadou Moustapha Bâ.
Sur le plan énergétique , un des défis majeur a été relevé selon le ministre qui a annoncé qu’ « Au plan de la production, le pari de la disponibilité de l’énergie a été gagné avec la mise en service d’une puissance totale installée à plus de 1650 MW dont 226 MW de solaire, 159 MW en éolien et 121 MW en hydroélectrique, soit un taux de pénétration en énergie renouvelable de 30%. Ces avancées sont imputables aux efforts de modernisation et d’entretien de l’outil de production d’électricité ».
« La proportion de la population ayant accès à l’électricité en milieu rural a atteint 58,2% en 2021 et projeté à 60% en 2022 et 96% en milieu urbain grâce aux efforts de l’Etat et des PTF à travers des projets et programmes du ministère en charge de l’Energie mais aussi du programme d’urgence de développement communautaire », a -t-il indiqué
Le ministre dans sa communication a tenu à préciser que « L’accès universel aux services électriques constitue aussi un impératif pour l’atteinte des objectifs d’émergence à l’horizon 2035 ».
Au niveau national la couverture en électricité est de 80,5%.,s’est félicité le ministre du budget et des finances.
Avec les découvertes récentes et substantielles de pétrole et de gaz, le Sénégal se prépare à valoriser ses vastes ressources en gaz naturel pour contribuer à la prise en charge de la demande future d’électricité et améliorer la compétitivité de son économie. Les réserves nationales de gaz du Sénégal seront principalement utilisées pour produire de l’électricité. La monétisation de ces importantes ressources énergétiques est à la base des nouvelles ambitions du gouvernement en matière de conversion du gaz en électricité, » a confié le ministre.
Dans le domaine de l’exploitation du pétrole et du gaz, la production de pétrole et de gaz pour les projets Sangomar et GTA , devrait démarrer et engendrer des recettes pétrolières et gazières qui devraient passer dès la première année de production de 3,0% à plus de 15,0% des recettes totales du pays, a soutenu Mamadou Moustapha Bâ.
Evoquant dans la même lancée les réalisations dans le secteur des infrastructures et les services de transports, « le Sénégal est en plein chantier, du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest en passant par le Centre, les travaux routiers sont partout visibles. De 2012 à 2021, d’importants projets ont contribué à l’amélioration de la circulation des personnes et des biens. Les réalisations se résument ainsi qu’il suit, sur la période 2012-2021 :
• Linéaires de routes revêtues réalisées : 2526 km
• Linéaires d’autoroutes réalisées et mises en service : 189 km ;
• Nombre de ponts réalisés : 20 ponts ;
• Linéaires de pistes aménagés : 8796,2 km », a confié le ministre qui a affirmé que au total 3. 114,5 km de routes.
Toujours dans ce chapitre des réalisations,il a souligné les projets du Bus Rapid Transit (BRT) totalement électrique, qui reliera Guédiawaye à la gare de Petersen pour un montant de 373 milliards de FCFA et devra transporter 300 000 passagers par « . « Globalement les travaux d’infrastructures et systèmes BRT sont réalisés à hauteur de 68%. Sa livraison est prévue au mois d’octobre prochain », a-t-il assuré.
Sans oublier le Train Express Régional,le « TER est devenu une réalité au grand bonheur des usagers avec une capacité de transport en moyenne de 60 000 passagers par jour et des recettes mensuelles évaluées à 1, 5 milliards de FCFA.
Dans la nouvelle ville de Diamniadio, d’importants projets infrastructurels ont également été réalisés. Du Centre international de conférences Abdou Diouf au stade Président Abdoulaye Wade, en passant par le temple du basketball Dakar Arena, le très attractif Centre des expositions, le Marché d’intérêt national, la Gare des gros porteurs sans oublier l’arène nationale à Pikine. Des infrastructures qui contribuent à l’émergence économique du Sénégal à l’horizon 2035 », a rappellé le ministre ,Mamadou Moustapha Bâ.
Dans le secteur de l’agriculture, « ce sont des productions record qui ont été enregistrées permettant de couvrir nos besoins en céréales de 93% et en riz de 63%. En effet, de 405 824 tonnes de riz paddy en 2012, la production est passée à 1 451 840 tonnes à fin 2020. La production des fruits et légumes a atteint 1 624 456 tonnes en 2020 « , selon le ministre du budgé et des finances.
Pour la production arachidière, un important bond a été enregistré .
« Production arachidière a été multipliée par 2,5 de même que les productions animales (lait, viande, aquaculture) qui ont connu une augmentation satisfaisante », a souligné le ministre.
En ce qui concerne l’élevage, la production annuelle laitière est passée de 202 millions de litres en 2012 à 283 millions de litres en 2021 tandis que la production de viande de volaille ressort à 1263 tonnes en 2021 contre 548 tonnes en 2012, a-t-il fait conste.
Pour la pêche, selon le ministre Amadou Moustapha Bâ ,elle « continue d’occuper une place dans le PSE avec des exportations en volume de 270 603 tonnes et en valeur de 250 000 000 000 FCFA. Quant à la production aquacole, « elle s’établit en 2021 à 1 236,5 tonnes. Ces résultats ont été obtenus grâce à la réalisation, la modernisation et la mise aux normes de plusieurs infrastructures d’appui à la production et à la transformation. Relativement à l’aquaculture, les productions sont passées de 371 tonnes de poissons en 2012 à 1 374 tonnes en 2021 » s’est -il exprimée.
Au plan hydraulique, le ministre a indiqué : « l’accès à l’eau pour tous a été atteint en milieu urbain tandis que le pays est à 8,7 points de l’accès à l’eau potable de toutes les populations rurales en vue d’atteindre l’accès universel. Relativement à l’assainissement, des bonds de 4 points et de 8 points ont été réalisés respectivement dans l’assainissement urbain (67,4%) et rural (42,3%) ».
Relatives à l’éducation et de la formation, « les réalisations ont porté sur la construction de 12 088 salles de classes dont 1 850 dans le cadre du remplacement des abris provisoires, 47 daaras modernes, 5 Instituts de formation professionnelle et 14 Espaces Numériques Ouverts (ENO), le nombre d’universités est passé de 5 en 2012 à 8 en 2021 », a-t-il fait constater.
Dans le domaine de la santé santé ,les réalisations sont palbables .Sur ce ,le ministre a souligné « la construction de 20 nouveaux hôpitaux, 28 centres de santé, 281 postes de santé et 13 centres de dialyse ».
De même que la protection sociale avec le programme national de Bourses de sécurité familiale et la couverture maladie universelle qui font partie des marqueurs sociaux de la politique de Son Excellence Monsieur le Président de la République Macky SALL, a souligné le ministre ,Mamadou Moustapha Bâ.
Le programme XËYU NDAW ÑI a généré à ce jour plus de 80.233 emplois créés sur un objectif de base de 65.000 recrutements spéciaux, dont 14.000 formations dans le cadre de la convention Etat-employeurs, 141.000 bénéficiaires de financements injectés par la DER/FJ et 31.000 formations déroulées par le 3FPT, a déclaré le ministre.
Pour la production arachidière, un important bond a été enregistré .
« Production arachidière a été multipliée par 2,5 de même que les productions animales (lait, viande, aquaculture) qui ont connu une augmentation satisfaisante », a souligné le ministre.
En ce qui concerne l’élevage, la production annuelle laitière est passée de 202 millions de litres en 2012 à 283 millions de litres en 2021 tandis que la production de viande de volaille ressort à 1263 tonnes en 2021 contre 548 tonnes en 2012, a-t-il fait conste.
Pour la pêche, selon le ministre Amadou Moustapha Bâ ,elle « continue d’occuper une place dans le PSE avec des exportations en volume de 270 603 tonnes et en valeur de 250 000 000 000 FCFA. Quant à la production aquacole, « elle s’établit en 2021 à 1 236,5 tonnes. Ces résultats ont été obtenus grâce à la réalisation, la modernisation et la mise aux normes de plusieurs infrastructures d’appui à la production et à la transformation. Relativement à l’aquaculture, les productions sont passées de 371 tonnes de poissons en 2012 à 1 374 tonnes en 2021 » s’est -il exprimée.
Au plan hydraulique, le ministre a indiqué : « l’accès à l’eau pour tous a été atteint en milieu urbain tandis que le pays est à 8,7 points de l’accès à l’eau potable de toutes les populations rurales en vue d’atteindre l’accès universel. Relativement à l’assainissement, des bonds de 4 points et de 8 points ont été réalisés respectivement dans l’assainissement urbain (67,4%) et rural (42,3%) ».
Relatives à l’éducation et de la formation, « les réalisations ont porté sur la construction de 12 088 salles de classes dont 1 850 dans le cadre du remplacement des abris provisoires, 47 daaras modernes, 5 Instituts de formation professionnelle et 14 Espaces Numériques Ouverts (ENO), le nombre d’universités est passé de 5 en 2012 à 8 en 2021 », a-t-il fait constater.
Dans le domaine de la santé santé ,les réalisations sont palbables .Sur ce ,le ministre a souligné « la construction de 20 nouveaux hôpitaux, 28 centres de santé, 281 postes de santé et 13 centres de dialyse ».
De même que la protection sociale avec le programme national de Bourses de sécurité familiale et la couverture maladie universelle qui font partie des marqueurs sociaux de la politique de Son Excellence Monsieur le Président de la République Macky SALL, a souligné le ministre ,Mamadou Moustapha Bâ.
Le programme XËYU NDAW ÑI a généré à ce jour plus de 80.233 emplois créés sur un objectif de base de 65.000 recrutements spéciaux, dont 14.000 formations dans le cadre de la convention Etat-employeurs, 141.000 bénéficiaires de financements injectés par la DER/FJ et 31.000 formations déroulées par le 3FPT, a déclaré le ministre.
AGI