Quand Mouhamed Cissé, le Secrétaire national parti Rewmi Touba asséne ces vérités à xibaaru
Cette contribution s’adresse à la rédaction du journal en ligne : www.xibaaru.sn et à ses journalistes.
Alors je voudrais commencer par deux versets coraniques.
« Il est parfaitement informé ». Qoran VI/103
« Où que vous soyez, Il est avec vous.
Dieu voit parfaitement ce que vous faites » Qoran LVII/4.
L’article que j’ai lu, est en effet dépourvu de sincérité. Il est écrit d’une manière diabolique et tendancieuse, au nom de l’heuristique de la peur.
C’est une souillure qui cherche à semer la mauvaise graine de l’anxiété et de la division.
Peine perdue ! Après la lecture du texte, j’ai analysé votre problème avec un sens aigu de la psychologie et j’ai le sentiment de vous comprendre.
En réalité, la plume du journaliste doit être l’envoyé des connaissances vraies et de la sincérité et non de la poche d’un homme désorienté par les feux des remords.
Se servir de la presse comme artillerie, c’est non seulement la réduire à la valeur marchande mais aussi la pousser à la première étape de la course intrépide vers le bas et la bassesse.
À partir de ce moment le journaliste ne s’engage plus sur les chemins de la sagesse, de l’éthique et de la déontologie.
À force d’être manœuvré par les forces de l’ombre, il finit dans les filets de l’argent et finalement inaccessible à la honte. Et voilà que l’outrage devient la banalité du pire.
Donc ce qui fait la crédibilité d’un journal, c’est la véracité de ses lignes. Or la véracité ne s’opère sans la sincérité qui redoute l’observation de soi- même, des hommes et de Dieu.
« Si le serviteur se montre sincère, des multitudes hantises, ainsi que la duplicité s’écarteront de lui » dixit le docteur de la loi Addari.
Par ailleurs, l’opinion sophistique que votre machine de guerre ait sur la personne de Monsieur Mahmoud Saleh n’entrave en rien la confiance de son mentor. Ce monsieur est bon, humble et discret. Ses compétences apparentes et secrètes gèrent son employabilité auprès de son Excellence le Président de la République.
Quant à Monsieur le ministre Diattara, je vous dis clairement qu’il est le contraire de tout ce que vous lui collez .
Il n’a jamais fait du mal à quelqu’un et sa langue n’est pas fourchue . Il ne jette pas l’opprobre aux gens.
Les lointains comme les prochains sont sous la protection de l’amour parce qu’il s’appuie sur les instruments de la divine clairvoyance.
Un fervent croyant qui sait que tout ce qui se donne, c’est Dieu qui le donne. L’homme n’est qu’un témoin des faits et des dons. Son rôle est d’obéir, celui de Dieu, de pouvoir.
C’est pourquoi Yankhoba n’a jamais ambitionné quelque chose de lui-même. Il a toujours attendu l’orientation.
Aujourd’hui, son confident abandon n’est altéré ni par le gain ni par la position. De son métier actuel, il respecte les préceptes et en aucun lieu il n’omet la générosité et la bienveillance.
Cependant, c’est un politique qui s’exprime par l’intelligence et par l’observance des causes. Il est surtout l’expression la plus achevée de la perspicacité, de la politesse, de la pudeur et de la fidélité.
Cause pour laquelle il revendique encore avec ténacité d’être le bouclier du Président Idrissa Seck.
Et très tôt, il comprend que le courage est un outil de régulation et de leadership.
En 2005 , après avoir mesuré les risques et les enjeux, ce même Diattara avait empêché le Président Abdoulaye Wade de fêter à Thiès pendant que les gens continuaient à pleurer l’embastillement de leur Maire.
Dans les moments de courage, on est souvent seul mais bien visible.
Ce jour-là notre ministre était absolument seul et absolument visible.
Donc il mérite aujourd’hui distinction et glorification.
Mouhamed Cissé, Secrétaire national
et responsable politique du parti Rewmi Touba