L’Union africaine réaffirme son soutien à Khaled El-Enany dans le cadre du dialogue stratégique avec l’union européenne, alors que son appui s’élargit en Europe centrale
Lors de la troisième réunion ministérielle conjointe entre l’Union africaine et l’Union européenne, tenue le 21 mai à Bruxelles, l’Union africaine a réaffirmé son soutien à la candidature du Professeur Khaled El-Enany au poste de directeur général de l’UNESCO (2025-2029). Ce soutienréaffirmé intervient quelques jours à peine après unetournée de Khaled El-Enany en Europe de l’Est, où il a reçuun accueil chaleureux en Autriche et en Slovaquie, deux pays qui ont officiellement exprimé leur appui à sa candidature.
Les deux Unions ont insisté sur le rôle essentiel de l’UNESCOdans la promotion de la paix, du dialogue et du développementdurable, ainsi que sur l’importance de l’éducation comme droit fondamental, au cœur de l’Objectif de développement durable n°4. Khaled El-Enany a été présenté comme le candidat naturel pour porter ces priorités au sein de l’Organisation.
Il s’agit de la quatrième déclaration de soutien émise par l’organisation panafricaine, et de la première formellementexprimée dans un cadre de dialogue politique intercontinental, conférant à ce soutien une portée nouvelle, à la fois stratégiqueet symbolique.
Ce geste, hautement symbolique, témoigne d’un consensus panafricain constant autour de la candidature de Khaled El-Enany reconnu pour son engagement en faveur du dialogue interculturel, de la valorisation du patrimoine mondial et de l’accès équitable à l’éducation et à la science.
Depuis avril 2023, Khaled El-Enany a visité plus de 50 pays, porteur d’une vision d’une UNESCO centrée sur les peuples, fondée sur l’écoute, la coopération technique et le respect des diversités comme fondement du multilatéralisme.
La candidature de Khaled El-Enany bénéficie aujourd’hui d’un soutien large et diversifié, réunissant des États d’Afrique, du monde arabe, d’Europe et d’Amérique latine. Parmi eux : la France, l’Allemagne, l’Espagne, le Brésil, la Turquie, le Gabon, Djibouti, l’Angola, l’Autriche, la Slovaquie, ainsi que la Ligue des États arabes et l’Union africaine. Ce large appui souligne la crédibilité d’un profil capable de porter une ambition collective pour l’avenir de l’UNESCO.