⁴Le Hip -Hop , au-delà d’être divertissant, doit fortement contribuer à changer les mentalités, à promouvoir les idées constructives et contribuer au développement socio-économique de la société .
C’est ce qu’a compris les rappeurs de ladite commune, en lançant le festival festival « Dalifort Hip-hop ».
Ce festival selon son coordonnateur est un créneau ,au-delà du divertissement d’offrir une tribune de haut niveau aux questions environnementales dont la commune souffre.
Sur ce ,il a mis en exergue le programme : « Dalifort zéro déchet, pour une commune attrayante »,ce qui a permis de récupérer un dépôt d’ordures , a-t-il confié
Cette espace a été valorisé aux normes environnementales et a été inauguré ce 29 Décembre.
« En récupérant cet espace, on y gagne d’abord en sécurité car personne n’osait passer ici, en santé également ,on l’a bien récupéré avec toutes les commodités environnementales qu’il faut », s’est- félicité le coordonnateur du festival Dalifort Hip hop.
Le projet ,a été réalisé grâce à l’appui et au partenaire de PGSENPA, programme de gestion de la santé environnementale et la pollution en Afrique.
Le programme de gestion de la santé environnementale et la pollution en Afrique est un projet sous-région financé par le FEM, a indiqué son coordonnateur, le colonel Alassane Ngom
« Il vise à réduire l’exposition des populations aux polluants organiques persistants, qui sont des substances très dangereuses et qui sont nocives pour la santé, la santé humaine et pour l’environnement », a-t-il précisé.
Dalifort étant une commune fortement exposée à la pollution environnementale ,avec les usines ,le TER, l’autoroute Péage ,a besoin de ce programme», a-t-il soutenu.
Dans la même lancée, le coordonnateur du festival a invité SENTER, EIFFAGE et les entreprises dans la commune à s’acquitter de leur obligation environnementale car , « il y va de la responsabilité sociétale d’entreprise mais également de la santé des populations » affirme-t-il.
« Le PGSENPA donc vise à promouvoir des systèmes de gestion durable des déchets et des émissions et rejets de polluants organiques persistants et à valoriser ces systèmes pour promouvoir des filières durables et une économie circulaire qui permet de générer des revenus pour les acteurs, notamment pour les populations et d’améliorer donc le cadre de vie », a placé son coordonnateur, le colonel Alassane Ngom
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AKD