Le 2 Mars, le Sénégal a enregistré son premier cas positif au coronavirus.
Dix mois après,16 900 cas sont répertoriés à travers le territoire national ,selon les données auprès du ministère de la santé.
Après une baisse considérable enregistré, le nombre de cas positifs n’a pas cessé de grimper depuis le mois de Décembre .
Face à cette situation, le « recours au vaccin peut s’imposer » à en croire au ministre de la santé ,Abdoulaye Diouf Sarr.
Toutefois il a précisé :le Sénégal n’as pas cependant opté pour cette stratégie.
Nous avons « opter pour la prévention » a -t-il indiqué ,et d’’ailleurs , poursuit -il c’est ce qui nous a permis dans cette première phase de la pandémie pendant les grandes puissances sombraient face aux virus ,notre cher pays le Sénégal a fait exception.
Ainsi pour empêcher cette deuxième vague, le ministre persiste sur le respect strict des mesures barrières’’. A cette effet il a laisse entendre : « plus de tolérance sur les mesures barrières ,le port de masque doit être strict»
Abordant l’introduction du vaccin le ministre a eu à précisé que : « le Sénégal est membre de l’initiative Covacs qui regroupe 170 pays à travers le monde , donc s’il devrait recourir à un vaccin ce sera celui homologué par l’organisation mondiale de la santé.
« Le Sénégal n’a pas choisi Maderna »,a-t-il précisé.