Le quotidien du consommateur Sénégalais reste toujours sombre face à cette hausse constante sur les prix des denrées de première nécessité.
En effet malgré la volonté de l’Etat de soulager les familles surtout dans un contexte de crise sanitaire qui a fortement impactè sur les revenus,le bout du tunnel est encore loin pour le consommateur sénégalais.
L’ Unions des commerçants et importateurs du Sénégal autour de l’UNACOIS,JAPPO rejette le nouveau « arrêté finistériel portant fixation des prix du riz brisé ordinaire et homolofation des prix plafond du sucre cristallisé et de l’huile raffinée comestible.
« Nous jouerons le jeu de la transparence sur cet arrêt « ,a soutenu Ousmane Sy Ndiaye Sécrétaire Excécutif de l’UNACOIS,JAPPO .
Sur ce,il affirme: »l’arrêté en son état est inapplicable ,car il ne prend pas en compte les frais du transport et de manutention «
Toutefois l’UNACOIS,déclare qu »elle reste ouverte au dialogue pour une meuilleur solution face à cette hausse qui prend un nouveau tournant avec la guerre en Ukraine .
L’ Union des commerçants dit regretté son non implication dans le processus de négociations qui a abouti à ce nouveau arrêté,qu’elle rejette.
Selon ,le Secrétaire Excécutif,Ousmane Sy Ndiaye: »en se soumettant à cet arrêté, »nous vendons à perte et partout à travers le monde ,vous ne verrez point un commerçant vendre à perte »,précise -t-il.
L’union des commerçants avertissent toutefois l’Etat : »personne ne peut nous forcer au respect de cet arrêt ,le vouloir même est contradictoire à la loi avertit Ndongo Ka,vice président de l’UNACOIS.
Le nouveau arrêté ministériel fixe désormais le prix du riz brisé non parfumé à 275 franc le kg,le riz brisé américain à 335 franc,le sucre cristallisé à 600 cfran le kg et l’huile de palme raffiné ,1100 franc le litre.
IMS