Les Algériens continuent de rejeter massivement ce scrutin, ne voulant plus du « système politique » au pouvoir depuis l’indépendance en 1962.
Pour ce dernier vendredi avant les élections présidentielles algériennes sont sortis encore nombreux pour dire encore non.
Les pancartes au rendez- vous brandissaient le mot d’ordre : « Pas de vote », d’autres réclament un état civil.
Cette semaine, le responsable de l’autorité d’organisation des élections a affirmé à la télévision que les cortèges pro-vote étaient plus importants que ceux qui y étaient opposés, c’
Depuis plusieurs mois, les manifestants réclament le départ du chef d’état-major.
On s’attend à la fois á un scrutin et ses résultats très contestès