Convoqué par la section de recherche de colobane suite à une plaine de la masseuse de sweet BEAUTY spa pour viols et menaces de morts répétés, les organisations de défense des droits humains prennent la défense de Sonko et exigent le respect de ses droits.
A travers un communiqué co-signé, Afrikajom Center, Amnesty International Sénégal (AIS), le Forum social sénégalais (FSS), la Ligue Sénégalaise des Droits Humains (LSDH), la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits d’Homme (RADDHO) exigent le respect de la loi dans cette affaire de » viols et menaces répétés »qui vise le député ,Ousmane Sonko, Président du parti Pastef .
Ils dénoncent une vice de procédure :la convocation qui a été envoyée à Sonko par la Section de Recherches, n’est pas légale. Elle ne respecte pas loi, ont-ils dénoncé.
« La convocation qui lui a été servie n’a donc pas respecté les termes de l’article 61 de la Constitution du 22 Janvier 2001, modifiée et des articles 51 et 52 du Règlement intérieur de l’Assemblée », ont écrit les signataires dudit communiqué.