Le Sénégal est candidat à la présidence de la banque africaine de développement(BAD).
Ce jeudi 28 Novembre ,en marge d’une cérémonie officielle présidée par ,Madame Yassine Fall, ministre de l’Intégration Africaine et des Affaires Étrangères. ,le gouvernement ca annoncer la candidature de son candidat pour remplacer le président Akinwumi Adesina.
L’heureux candidat retenu par le Sénégal est l’ancien ministre Amadou HOTT, un choix idéal et inclusif . « Avec plus de 25 ans d’expérience exceptionnelle, alliant banque d’investissement, banque de développement, gestion de fonds souverains et élaboration de politiques publiques, M. Hott incarne une vision audacieuse et inclusive pour relever les défis actuels et futurs du continent africain. »
Ancien ministre de l’Économie, du Plan et de la Coopération du Sénégal (2019-2022), le candidat Amadou Hott « est un économiste de renom, doté d’une compréhension approfondie des enjeux auxquels font face à la fois les gouvernements et le secteur privé ».
Après 60 ans de progrès remarquables, la BAD s’est imposée comme la principale institution de financement du développement en Afrique, grâce au leadership visionnaire de ses dirigeants successifs. Sous la présidence actuelle du Dr Akinwumi Adesina, elle a atteint des sommets sans précédent en matière d’impact sur le développement et de croissance du capital. M. Amadou Hott a eu l’honneur de contribuer à ces succès, d’abord en tant que premier Vice- président du Complexe de l’énergie, du changement climatique et de la croissance verte (2016- 2019), puis en tant qu’Envoyé spécial du Président pour l’Alliance pour les infrastructures vertes en Afrique (2022-2024).
À travers cette candidature, « le Sénégal aspire à placer un leader visionnaire et pragmatique à la tête de cette institution, afin de contribuer à l’accélération de la mise en œuvre des projets et programmes transformateurs du continent. Cette démarche vise également à renforcer l’intégration africaine pour favoriser une croissance durable, inclusive et génératrice d’emplois, tout en créant davantage d’opportunités économiques, notamment pour les jeunes et, en priorité, pour les femmes.
IMS